L'auberge était plantée en face du mont. Une longue route sinueuse surplombant la mer et longeant les prés y conduisait. Les attelages devaient s'y dandiner pour y arriver. Le temps était souvent gris et pluvieux, les routes souvent boueuses et le terrain lourd pour les chevaux.
Dans les temps difficiles, les frères et les soeurs de l'ordre savaient se souvenir du chemin et y trouver un esprit solidaire.